École d’architecture
de la ville & des territoires
Paris-Est

Post-master
Architecture des limites planétaires

    Pratique et recherche architecturales face aux bouleversements écologiques


    Le post-master Architecture des limites planétaires (ALP) est une formation intensive d’un an dédiée à l’approfondissement des savoirs et des compétences nécessaires à la conception d’une architecture respectueuse des limites planétaires. Ces dernières représentent les contraintes qui s’imposent au développement de nos sociétés, mais elles définissent également un cadre de pensée et d’action qui ouvre un vaste champ d’exploration pour la pratique et la recherche architecturales.

    Le post-master vise à accompagner des architectes et ingénieurs diplômés dans cette exploration à travers un programme interdisciplinaire qui croise sciences de l’ingénieur, sciences du vivant et de la Terre, humanités environnementales, histoire et théorie de l’architecture. Il s’appuie pour cela sur un partenariat historique avec l’École nationale des ponts et chaussées (ENPC) et sur des échanges entretenus avec des institutions reconnues, comme l’École des hautes études en sciences sociales (EHESS), le master Sustainable Environmental Design de l’Architectural Association School (AA) à Londres et la chaire Sustainable Construction de l’École polytechnique fédérale de Zurich (ETHZ). Il offre ainsi des conditions uniques pour développer une culture scientifique, un savoir technique et une pensée critique nécessaires à l’intégration des considérations écologiques dans la conception et la recherche architecturales.

    Lancé en 2013 par Jean-François Blassel sous la forme d’un DPEA Architecture post-carbone, ce programme bénéficie de plus d’une décennie d’expérience qui lui confère une reconnaissance internationale. Il prépare à une pratique réflexive et engagée au sein d’agences d’architecture, de bureaux d’études, d’institutions publiques, de collectivités territoriales et d’associations. Ancré dans la recherche académique, il constitue également une formation idéale pour mûrir un projet de thèse doctorale portant sur les enjeux environnementaux dans l’architecture.

    Organisation

    Après un mois de septembre consacré à la construction d’un socle commun de connaissances fondamentales, la formation s’organise sur deux semestres d’enseignement (d’octobre à février, puis de mars à mai) suivis d’une période de mise en situation professionnelle de quatre mois (de juin à septembre).

    Le mois de septembre
    Le mois de septembre s’organise autour d’une conférence de rentrée, de visites d’infrastructures énergétiques, d’un voyage d’études et de deux workshops :

    Construire en terre (ENPC)

    Coordonnée par Xavier Chateau et Emmanuel Keita, cette semaine de workshop offre, à travers une série de conférences et un exercice de mise en pratique, une introduction aux enjeux, méthodes et outils relatifs à la conception et à la mise en œuvre d’une construction en terre. En collaboration avec ceux de la filière Génie civil et construction (GCC) de l’ENPC, les étudiantes et étudiants mènent un projet leur permettant d’explorer différentes techniques constructives avant de réaliser une structure à l’échelle 1.


    Environmental Design: An Introductory Investigation

    Coordonné par Florencia Collo, en collaboration avec ses associés d’Atmos Lab (Rafael Alonso Candau et Olivier Dambron), ce workshop se déroule sur deux semaines. Par groupe, les étudiantes et étudiants mènent une enquête approfondie sur le système énergétique d’un bâtiment et la variation de ses climats au fil des saisons. Ils prennent en main les méthodes et outils nécessaires à l’analyse et à la conception bioclimatiques et expérimentent différentes formes de représentation pour rendre compte des flux d’énergie et du comportement hygrothermique d’une architecture, selon les situations météorologiques et les pratiques sociales.


    Durant ce mois de septembre, plusieurs demi-journées d’initiation aux outils numériques sont également organisées. Elles concernent en particulier le système d’information géographique (SIG) et les outils d’analyse climatique et de modélisation énergétique via Grasshopper et la collection d’outils Ladybug.

    Les enseignements hebdomadaires
    Au fil de ces deux semestres, une équipe pédagogique plurielle constituée de praticiens et de chercheurs reconnus vient partager chaque semaine ses savoirs et engager les discussions autour de cinq principaux thèmes d’enseignement :

    Thermodynamique de l’architecture

    Cet enseignement coordonné par Jean Souviron, architecte, ingénieur et docteur en architecture, vise à approfondir tout au long du premier semestre les connaissances fondamentales nécessaires à la bonne compréhension des lois et des principes relatifs aux transferts thermiques, à la thermodynamique et à la transformation des énergies. Il articule différentes échelles d’analyse, du comportement des matériaux de construction à celui des édifices et des structures socio-économiques dans lesquelles ils s’insèrent. Il adopte une approche de cycle de vie permettant d’étudier les formes d’énergie et les modalités de leur exploitation dans les principales filières industrielles qui alimentent le secteur de la construction. Une série d’interventions de chercheurs et praticiens français et internationaux ponctue cet enseignement, ouvrant ainsi une large perspective sur les opportunités offertes par la bonne compréhension de la thermodynamique des édifices dans la pratique et la recherche architecturale.


    Filières de production et écologie territoriale

    Cet enseignement du premier semestre est coordonné par Camille de Gaulmyn, architecte, ingénieure et fondatrice de l’agence degré·. Il vise à approfondir les savoirs et compétences nécessaires à l’analyse de l’empreinte environnementale de l’architecture. Pour ce faire, il adopte une approche transversale, analytique et quantitative pour étudier le métabolisme des édifices à l’échelle urbaine, territoriale et globale. Il donne ainsi à comprendre dans leurs complexités les enjeux écologiques relatifs à l’industrie de la construction et ses filières pour ouvrir une perspective critique sur la structure des interactions entre l’architecture, les territoires, leur système de gouvernance et la biosphère. Il vise ainsi à replacer l’architecture dans une écologie territoriale définie par un réseau d’acteurs mobilisant des flux de matières et d’énergie. Cet enseignement s’appuie pour cela sur l’analyse de la trajectoire des principaux matériaux de construction, depuis leur territoire d’extraction vers ceux d’accumulation. Il accompagne également à la prise en main des outils et méthodes utilisées pour appréhender et quantifier les flux de matières et d’énergie, en complément du cours Analyse de cycle de vie suivi au sein de l’ENPC.


    Réparation : savoirs et pratiques

    Coordonné par Pierre Dufour, architecte en chef des monuments historiques et fondateur de l’agence Antoine Dufour architectes, cet enseignement propose sur deux semestres un approfondissement des connaissances nécessaires à l’intervention sur des édifices existants. Il se concentre en particulier sur les enjeux climatiques et hygrothermiques à travers une série de cours théoriques, de visites et d’exercices de mise en pratique. Les étudiantes et étudiants développent ainsi des compétences utiles au diagnostic du bâti existant et à l’usage d’appareils de mesure des performances énergétiques des éléments architecturaux. Ils approfondissent leurs connaissances relatives aux techniques de réparation, de rénovation et de transformation, et ce en tenant compte de la durabilité des solutions envisagées, de leur performance énergétique et de leur impact sur le confort thermique. Des interventions d’architectes praticiens, d’ingénieurs et d’artisans enrichissent le programme en offrant des occasions d’échange autour d’études de cas emblématiques des défis contemporains propres à l’intervention sur des structures existantes.


    L’architecture et ses écosystèmes

    Coordonné par Brian Padilla, écologue au Muséum national d’histoire naturelle (MNHN) et membre de l’Autorité environnementale d’Île-de-France, cet enseignement vise à développer tout au long du second semestre un socle de connaissances fondamentales pour appréhender les enjeux contemporains relatifs aux écosystèmes et à leur transformation sous l’effet de la construction des édifices et de leurs infrastructures.


    Écologie, économie et politique

    Cet enseignement du second semestre est coordonné par Antoine Perron, architecte HMONP et docteur en architecture. Prenant la forme d’un séminaire hebdomadaire, il explore les dynamiques complexes qui, entre économie et politique, façonnent les réponses sociétales apportées aux enjeux environnementaux contemporains. En examinant les interactions entre acteurs, institutions et cadres idéologiques, le cours vise à éclairer les conditions socio-politiques et économiques qui sous-tendent les choix collectifs et individuels face aux bouleversements écologiques en cours et à venir. Les séances, structurées sous forme de masterclasses, réunissent des chercheurs issus de disciplines variées telles que les sciences politiques, l’économie écologique, l’écologie politique, l’anthropologie et l’histoire environnementale. Cette diversité d’approches permet de croiser les perspectives et de nourrir les débats. Encourageant une réflexion critique et collaborative, cet enseignement ambitionne d’apporter aux étudiantes et étudiants des outils analytiques pour appréhender la dimension économique et politique des enjeux environnementaux et leurs conséquences sur la pratique architecturale.



    Le partenariat historique engagé avec l’ENPC permet aux élèves de suivre deux enseignements complémentaires :

    Analyse du cycle de vie

    Cet enseignement hebdomadaire dispensé au premier semestre est coordonné par Adélaide Feraille et Charlotte Roux à l’ENPC. Les élèves rejoignent ceux de la filière Génie civil et construction (GCC) pour développer des compétences relatives à l’analyse du cycle de vie (ACV) des matériaux, des édifices et des infrastructures. L’usage de cette méthodologie permet d’évaluer l’impact écologique de différents scénarios de projet selon une approche multicritère et comparative utile à la prise de décision. Son usage est de plus en plus fréquent dans le secteur de la construction, en lien avec l’évolution des exigences réglementaires (RE2020) et l’intérêt grandissant des donneurs d’ordre et de la société civile pour les enjeux environnementaux. Ce module apporte donc des éléments nécessaires à la maîtrise des principes fondamentaux relatifs aux méthodes et calculs de l’ACV afin de pouvoir, sous la direction d’un chef de projet expérimenté, mener une étude et analyser celles existantes.


    Métabolisme territorial et urbain

    Chaque lundi du second semestre, à l’ENPC, les élèves rejoignent ceux du département Ville, environnement, transport (VET) et ceux du mastère Aménagement et maîtrise d’ouvrage urbaine (Amur) pour suivre ce module consacré à l’analyse du métabolisme de nos sociétés. Il a pour objectifs de permettre aux élèves de comprendre les flux qu’engendrent le développement et le fonctionnement des villes et territoires, les modalités de gestion de ces flux (cadres réglementaires, normatifs, moyens techniques), et les leviers sur lesquels agir (techniques, acteurs…). Le programme aborde les enjeux relatifs au métabolisme alimentaire et à l’agriculture, à la gestion des déchets ménagers organiques et des eaux usées, et aux flux de matériaux de construction.




    Enfin, au premier semestre, les étudiantes et étudiants ont le choix entre deux enseignements portant sur l’histoire et les humanités environnementales :

    Architecture et environnement au XXe siècle

    Au cours du XXe siècle, l’architecture s’est affirmée comme l’une des principales modalités de la transformation de l’environnement par les sociétés humaines. Elle a participé aussi bien à l’urbanisation du monde qu’à l’industrialisation de la production et à l’anthropisation générale de la nature. Coordonné par Paul Bouet, enseignant-chercheur à l’Ensa Paris-Est, ce cours examine ces transformations en reconsidérant l’histoire de l’édification des bâtiments et des villes au prisme de leur rapport à la matière, à l’énergie, au climat et au vivant. Il analyse les interactions aussi bien matérielles que symboliques entre architecture et environnement, dans un dialogue étroit avec les sciences et les techniques. Le cours s’arrête sur des moments particulièrement significatifs de ces interactions, dans des allers-retours successifs entre expériences locales et phénomènes planétaires. Il combine une relecture de l’œuvre d’architectes, ingénieurs, urbanistes, paysagistes et théoriciens canoniques à une revalorisation de figures restées en marge de l’historiographie, tout en examinant les transformations de fond qui affectent notre rapport à l’environnement via l’architecture.


    Introduction aux humanités environnementales

    Chaque mercredi, les étudiantes et étudiants rejoignent ceux de l’EHESS dans l’auditorium du Muséum national d’histoire naturelle (MNHN). Coordonné par Wolf Feuerhahn, Élise Demeulenaere et Luc Semal, chercheurs au CNRS et au MNHN, cet enseignement vise à fournir une introduction générale aux travaux des sciences humaines et sociales sur l’environnement, en offrant un panorama des questions posées par la recherche sur les rapports entre « nature » et société. Pour cela, le module comporte une séance sur les principales catégories utilisées par les sciences humaines et sociales pour désigner l’objet dont on parle (environnement, nature, milieu…). Les autres séances sont consacrées à différentes approches disciplinaires de l’environnement : histoire, anthropologie, sciences politiques, géographie, philosophie, économie, sociologie. Chacune de ces disciplines a vu se développer, le plus souvent à sa marge, un champ de recherche spécialisé dans l’étude des interfaces des sociétés à leur milieu. Ce découpage disciplinaire se justifie par le fait que l’unification de ces champs au sein de ce qui émerge sous le nom d’ « humanités environnementales » est loin d’être aboutie. L’objectif de ce module étant de fournir aux étudiants une culture générale sur les humanités environnementales (histoire intellectuelle, auteurs majeurs, controverses savantes), nous accompagnons ce cours de listes bibliographiques et incitons les étudiants à lire un certain nombre de textes.



    Les études

    En parallèle, les étudiantes et étudiants mènent en groupe un projet issu de commandes réelles émanant d’institutions publiques, d’organismes de recherche ou d’établissements privés. Ces études relèvent de situations concrètes dont l’analyse met en perspective les enseignements dispensés dans le reste de la formation. Elles articulent recherche et conception autour de projets de transformation, de rénovation et de réparation. Deux thématiques principales structurent ces études :

    • l’architecture régénérative, à travers laquelle sont explorées les formes architecturales dont les matériaux de construction contribuent à tisser de nouveaux liens entre nos formes bâties et des pratiques agricoles et sylvicoles durables ;
    • l’architecture des bifurcations énergétiques, consacrée aux impacts du dérèglement climatique et des politiques de décarbonation sur les édifices, les infrastructures énergétiques et les modes d’habiter.

    Les visites régulières sur les terrains concernés permettent de mener une enquête approfondie sur laquelle se fonde ensuite une proposition de réponse aux enjeux soulevés par les acteurs locaux et les institutions impliqués. Le livrable final prend la forme d’un rapport, de maquettes et d’une présentation orale.

    Le séminaire ALP

    Chaque mardi, un séminaire ouvre un espace de discussion autour de lectures communes qui viennent appuyer une formation approfondie à la recherche environnementale en architecture. Les élèves y mènent un travail d’enquête inédit restitué sous la forme d’un article scientifique. Celles et ceux désireux de s’engager dans une thèse de doctorat bénéficient d’un encadrement spécifique tout au long de l’année leur permettant de préciser un sujet de recherche, d’identifier des pistes de financement et de nouer les contacts nécessaires auprès des laboratoires et institutions susceptibles d’accueillir leur projet. Les liens étroits entretenus entre le post-master et, notamment, les laboratoires de recherche de l’Ensa Paris-Est (OCS), de l’ENPC (Navier), l’Université Gustave Eiffel (Latts), l’ETH de Zurich et l’Université Libre de Bruxelles (ULB) offrent aux futurs doctorants un accès privilégié à un réseau de chercheuses et de chercheurs engagés dans la recherche environnementale.

    Les semaines thématiques

    Enfin, cinq semaines thématiques rythment l’année. Elles sont l’occasion de rassembler les communautés de l’Ensa Paris-Est ainsi qu’un public extérieur autour d’un panel d’invités français et internationaux réunis pour approfondir cinq thèmes centraux pour la formation :

    Matériaux régénératifs

    Coordonnée par BC architects, materials & studies (Bruxelles), avec Guillaume Habert (ETH Zurich) et Alia Bengana (EPFL, HEIA), cette semaine s’organise autour de masterclasses organisées à l’Ensa Paris-Est et d’un workshop de quatre jours se déroulant à Bruxelles. Elle offre aux étudiantes et étudiants la possibilité d’approfondir leurs connaissances des matériaux biosourcés et géosourcés à travers une série d’ateliers, de visites et de débats portant sur les enjeux écologiques relatifs à la transformation des régimes matériels de l’architecture.


    Représenter l’architecture et ses écosystèmes

    Coordonnée par Claire Vernhes (Ensa Paris-Est, MEAT architectures et territoires) et Nzinga Mboup (Worofila), cette semaine thématique vise à explorer des modes de représentation qui rendent compte des entrelacs complexes de matières, d’énergie et d’espèces qui caractérisent les écosystèmes et leurs dynamiques, au fil des saisons, dans des contextes anthropisés.


    Agriculture, sylviculture et architecture

    Durant cette semaine thématique coordonnée par Camille de Gaulmyn (degré·), les étudiantes et étudiants approfondissent leur compréhension des enjeux sociétaux relatifs à l’usage des matériaux biosourcés. À travers une série de visites de terrains exploités pour la mise en culture de matériaux de construction, ils questionnent les formes d’interaction entre l’architecture et les filières agricoles et sylvicoles. Il s’agit ici de comprendre comment ces formes d’exploitation impactent les écosystèmes et les communautés impliquées dans le développement de ces matériaux et de définir les conditions selon lesquelles un tel régime matériel peut être considéré comme durable.


    Architecture, écologie, politique

    Coordonnée par Brian Padilla (MNHN, Autorité environnementale d’Île-de-France), cette semaine thématique se concentre sur les enjeux politiques relatifs à la mise en œuvre d’une transition écologique dans le secteur de la construction. Il s’agit ici de questionner le rôle des politiques publiques dans l’évolution des modes de construire et d’habiter et de mieux comprendre l’organisation des agences publiques (OFB, Anses, Ademe, Autorités environnementales, etc.) en charge de la protection de l’environnement et de la santé. Plus largement, les rencontres et visites organisées durant cette semaine permettent de nourrir des débats portant sur la dimension politique de l’architecture, abordant les freins et les leviers dont disposent les acteurs de la discipline au sein de la société civile pour s’engager activement face aux bouleversements écologiques.


    Architecture des bifurcations énergétiques

    Coordonnée par Jean Souviron (Ensa Paris-Est), cette semaine thématique vise à approfondir la compréhension des enjeux relatifs à la sortie des énergies fossiles. Organisée autour de visites et de masterclasses, elle permet d’aborder dans toute leur complexité les questions techniques, écologiques, sociales, économiques et politiques relatives à la décarbonation des infrastructures énergétiques.


    À l’issue de ces deux semestres, les étudiantes et étudiants réalisent une mise en situation professionnelle de quatre mois. Ils bénéficient du réseau de la formation pour intégrer en France ou à l’étranger des agences d’architecture, bureau d’études, institutions publiques, associations et laboratoires de recherche.

    Formation post-master dirigée par Jean Souviron, architecte diplômé d’État, ingénieur des ponts et chaussées, docteur en art de bâtir et urbanisme,
    avec : Alia Bengana (EPF Lausanne, HEIA Fribourg), Paul Bouet (Ensa Paris-Est), Laurens Bekemans, Yohann Hubert et Jasper Van Der Linden (BC architects & studies & materials, Bruxelles), Rafael Alonso Candau, Florencia Collo et Olivier Dambron (Atmos Lab, Londres), Camille de Gaulmyn (degré, Paris), Pierre Dufour (Antoine Dufour arch., Paris), Guillaume Habert (ETH Zurich), Emmanuel Keita (ENPC), Sébastien Marot (Ensa Paris-Est, EPFL), Nzinga B. Mboup (Worofila, Dakar), Brian Padilla (MNHN), Antoine Perron (Ensa Paris-Belleville), Emmanuelle Raoul-Duval (ROOM, Paris), Claire Vernhes (Ensa Paris-Est, MEAT architectures et territoires), etc.

    Langue
    Les enseignements sont dispensés en anglais ou en français. Un niveau minimum de B2 est requis dans les deux langues. En français, cela correspond à un score minimum de 400 à 499 points au test de niveau linguistique du TCF. En anglais, cela correspond à un score de 785 à 944 points au TOEIC.

    Frais d’inscription
    1800 euros. La formation est ouverte à une bourse sur critères sociaux (demande auprès du Crous de Créteil). Pour les salariés, cette formation est référencée auprès des organismes de financement comme Pôle emploi ou les OPCO.

    Admission
    Le post-master ALP s’adresse aux architectes et aux ingénieurs français ou étrangers diplômés. La sélection, de mai à juillet, se fait sur la base d’une lettre de motivation, d’un CV, d’un dossier de travaux et d’un entretien. La formation est ouverte en formation initiale et en formation professionnelle continue.
    en savoir plus

    Quand et où postuler ?
    À partir d'avril, via le portail d’admission Taïga dans le menu déroulant choisir Ensa Paris-Est.

    Responsable
    Jean Souviron

    En bref
    Crédits ECTS : 90
    Durée : 10 mois + 4 mois de stage
    Niveau d'études : bac + 6

    Contact :
    Formation initiale
    Stacy Saillard
    Tél. +33 (0)1 60 95 84 28

    Inscriptions
    Les inscriptions pour l’année 2025-2026 sont ouvertes du 1er avril 2025 au 31 mai 2025 à 23h59 (heure de Paris)
    en savoir plus

    Notice portail Taïga
    portail de préinscription

    Documents à télécharger
    flyer

    Crédit photo
    Jean Souviron